05 août 2018

Les porteuses de gerbes




       
Un bien bel envoi estival de Dentellebleue:

dans sa série "semailles et moissons", un tableau de Julien Dupré, Les porteuses de gerbes  (1880) peignant la dure vie des femmes aux champs,
avec un épi de blé, pour en accentuer le réalisme.

Sur le  timbre, un épi d'orge.

MERCI!

Sa série "Semailles et moissons" montre une fois de plus, comment Ginette sait combiner  la richesse de sa documentation et les goûts de ses correspondants.

"J'ai appelé cette série "Semailles et Moissons", écrit-elle,  pour matérialiser le cycle complet en partant du grain de céréales (à chaque fois que possible) jusqu'à l'épi nouveau. 

  Début ici 

2 commentaires:

  1. Bonjour Marcelle, merci pour ton chaleureux article.Je me suis régalée à entreprendre cette série que j'envisageais depuis longtemps. Pour ta complète information, saches que j'avais commencé à collecter les scènes de moisson depuis plus d'un an (à la sortie du carnet de timbres de la Poste) et que j'avais mis de coté cette scène de Julien Dupré, bien avant que tu m'en parles dans ton article sur la jeune femme à la jarre sous les pommiers. Il faut croire que je suis attirée vers les peintres naturalistes, en fille de la campagne que je suis à l'origine.
    J'espère que tu as passé de bonnes vacances, pas trop écrasée de chaleur, et dans ta Normandie, je pense que tu es encore un peu épargnée par la canicule, qui nous épuise ici, en ville et en appartement.Amitiés de Dentellebleue

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  2. Bonjour Ginette, nous étions en Bretagne, dans le pays de la dentelle !Par temps très ensoleillé mais agréable grâce à la proximité de la mer.
    De retour en Normandie, à l’intérieur , c’est l’étouffoir!
    Félicitations pour ta documentation collectée depuis un an: cela ne m’tétonne pas , un tel travail ne s’improvise pas.
    Bon courage pour supporter la canicule.

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